17e jour : victorieux dans le combat spirituel

La neuvaine à « Marie qui défait les nœuds » m’a guéri de mon addiction (Étienne)

Ma femme Marie-Claude a lu un article sur la neuvaine à « Marie qui défait les nœuds ». Comme nous avions de gros problèmes professionnels, elle m’a proposé de faire cette prière 9 jours de suite à cette intention. Je lui ai donné mon accord.

Quelques jours après et sans que je n’en parle à Marie-Claude, je décide de consacrer personnellement une autre neuvaine à Marie qui défait les nœuds pour me libérer d’une dépendance dont je n’arrivais pas à me défaire et qui me rendait honteux. Depuis bien longtemps, j’éprouvais une très forte addiction à la pornographie. A chaque fois que j’essayais de m’en sortir, je retombais dedans et je désespérais. Elle m’empêchait de vivre la relation conjugale dans un don sincère et total. Elle brouillait le regard que je portais sur les autres personnes.

J’ai réussi à y participer en étant présent à la maison tous les soirs, ce qui à l’époque était très rare, compte tenu de mes nombreux déplacements. Marie nous a comblés au-delà de ce que nous lui demandions. J’ai été guéri quasiment immédiatement de ma dépendance et je bénis la Vierge de m’avoir sauvé.

 

Regarde l’étoile, invoque Marie

Qui que tu sois,
toi qui dans cette marée du monde te sens entraîné à la dérive
au milieu des orages et des tempêtes bien plutôt que tu ne foules la terre ferme,
ne quitte pas des yeux les feux de cet astre, si tu ne veux pas sombrer sous la bourrasque.

Quand se déchaînent les rafales des tentations,
quand tu heurtes les récifs de l’adversité, regarde l’Etoile, crie vers Marie !

Si l’orgueil, si l’ambition, si le dénigrement,
si la jalousie te bousculent de leur houle, regarde l’Etoile, crie vers Marie !

Si la colère, l’avarice, les sortilèges de la chair secouent la barque de ton esprit,
tourne les yeux vers Marie !

Dans les périls, les angoisses, les situations critiques, médite Marie, invoque Marie !

Que son nom ne quitte pas tes lèvres, qu’il ne quitte pas ton cœur,
et pour obtenir la faveur de sa prière, ne cesse pas d’imiter sa vie.

Si tu suis Marie, tu ne dévieras pas.
Si tu la pries, tu ne désespéreras pas.
Si tu la gardes en ta pensée, tu ne connaîtras pas l’erreur.
Si elle te tient par la main, tu ne tomberas pas.
Si elle te protège, tu ne craindras pas.
Si elle te guide, tu ne connaîtras pas la fatigue.
Si elle est avec toi, tu es sûr d’arriver au but.

Et ainsi tu comprendras, par ta propre expérience, combien est juste cette parole :
Le nom de la Vierge était Marie.

Saint Bernard